Le gouvernement fédéral s'est accordé vendredi soir sur le contrôle du budget 2018. Comme prévu, il maintient son objectif d'une réduction du déficit budgétaire à 0,68% du PIB. Quelques mesures concernent la santé.
La ministre de la Santé, Maggie De Block, a annoncé vendredi soir qu'une solution avait été trouvée pour résoudre le problème de la double cohorte d'étudiants en médecine. En raison de la réduction du nombre d'années d'études de 7 à 6, deux années entrent en concurrence pour les places de stage. Pour financer la partie pédagogique du stage et pouvoir offrir suffisamment de places de stage pour des médecins spécialistes, 18,4 millions d'euros ont été dégagés.
Un accord a également été trouvé vendredi au sein du gouvernement pour les réseaux hospitaliers loco-régionaux. La mesure doit encore passer au Conseil des ministres le 30 mars. Ce dossier complexe pourrait donc se remettre à bouger dans les semaines qui viennent.
D'autant plus qu'hier, la Conférence interministérielle santé publique a pris ce lundi 26 mars acte du fait que l'avant-projet de loi relatif aux réseaux hospitaliers cliniques locorégionaux est mis à l'agenda du Conseil des ministres fédéraux. "lI a été pris connaissance des progrès qui ont été engrangés par les entités fédérées concernant l'inventaire des réseaux qui se forment sur le terrain: au sein du groupe de travail "hôpitaux", les représentants des administrations et des ministres discuteront plus avant ces inventaires afin de pouvoir disposer d'une vue globale en fonction des principes acceptés lors de la CIM du 26 février 2018. L'on échangera également sur la manière dont l'implémentation de cette mise en place en réseaux peut être soutenue et accompagnée. Enfin, l'on a concrètement déterminé une méthode travail concernant la mise en place de groupes de travail thématiques sur trois thèmes relevant des missions de soins locorégionaux : population vieillissante, mère-enfant, soins d'urgence. Le "kick-off meeting" sera organisé dans le courant du mois d'avril. Le but est de pouvoir émettre des propositions pour ces trois thèmes pour la fin de l'année 2019", annonce Alda Gréoli, présidente de la Cim.
La ministre de la Santé, Maggie De Block, a annoncé vendredi soir qu'une solution avait été trouvée pour résoudre le problème de la double cohorte d'étudiants en médecine. En raison de la réduction du nombre d'années d'études de 7 à 6, deux années entrent en concurrence pour les places de stage. Pour financer la partie pédagogique du stage et pouvoir offrir suffisamment de places de stage pour des médecins spécialistes, 18,4 millions d'euros ont été dégagés.Un accord a également été trouvé vendredi au sein du gouvernement pour les réseaux hospitaliers loco-régionaux. La mesure doit encore passer au Conseil des ministres le 30 mars. Ce dossier complexe pourrait donc se remettre à bouger dans les semaines qui viennent.D'autant plus qu'hier, la Conférence interministérielle santé publique a pris ce lundi 26 mars acte du fait que l'avant-projet de loi relatif aux réseaux hospitaliers cliniques locorégionaux est mis à l'agenda du Conseil des ministres fédéraux. "lI a été pris connaissance des progrès qui ont été engrangés par les entités fédérées concernant l'inventaire des réseaux qui se forment sur le terrain: au sein du groupe de travail "hôpitaux", les représentants des administrations et des ministres discuteront plus avant ces inventaires afin de pouvoir disposer d'une vue globale en fonction des principes acceptés lors de la CIM du 26 février 2018. L'on échangera également sur la manière dont l'implémentation de cette mise en place en réseaux peut être soutenue et accompagnée. Enfin, l'on a concrètement déterminé une méthode travail concernant la mise en place de groupes de travail thématiques sur trois thèmes relevant des missions de soins locorégionaux : population vieillissante, mère-enfant, soins d'urgence. Le "kick-off meeting" sera organisé dans le courant du mois d'avril. Le but est de pouvoir émettre des propositions pour ces trois thèmes pour la fin de l'année 2019", annonce Alda Gréoli, présidente de la Cim.