L'implication des patients dans le monde hospitalier est de plus en plus importante et marquante dans des pays comme le Canada ou la Suisse. Chez nous, pour l'une ou l'autre pathologie comme les maladies chroniques ou le cancer, un Comité de patient existe déjà dans certains hôpitaux en Flandre ou à Bruxelles. Pour la première fois toutefois, un " Comité de patients " va donner un avis transversalement sur toutes les activités d'un hôpital. Le Comité de patients du CHU de Liège est un " mix " entre des modèles canadien et français. Le CHU de Liège innove donc sous l'impulsion de Julien Compère, son administrateur délégué : " Le Comité de patients du CHU n'en est qu'à ses débuts, son mode de fonctionnement est à construire. Par exemple, les représentants de patients pourront, sur des problématiques précises, faire appel à d'autres intervenants compétents. Au fil des mois, la pratique et les interactions amélioreront l'outil. "
A ces huit patients s'ajoutent quatre représentants d'associations de patients reconnues (LUSS et Croix Rouge) et de quatre représentants du CHU de Liège (un représentant du directeur médical, deux représentants du nursing et la médiatrice). Le Dr Bernard Bassleer a mené le travail pour la direction médicale : " Une meilleure prise en charge des malades chroniques est l'une des principales motivations qui ont conduit à la mise sur pied d'un comité de patients. L'objectif est d'améliorer le suivi des patients (diabète, obésité...) en termes d'encadrement et aussi de communication. L'amélioration du lien avec le médecin permettra encore une optimalisation des soins. "
Le Comité se réunira en plénière trois à quatre fois par an, mais il peut décider de constituer des sous-groupes de travail. La phase test devrait durer 12 à 18 mois.
Premier comité wallon de patients au CHU de Liège
Le CHU de Liège innove en portant plus d'attentions aux patients au travers un Comité qui comptera également quatre représentants d'associations de patients reconnues (deux représentants de la Ligue des usagers des services de santé et deux représentants de la Croix Rouge) et de quatre représentants du CHU.
L'implication des patients dans le monde hospitalier est de plus en plus importante et marquante dans des pays comme le Canada ou la Suisse. Chez nous, pour l'une ou l'autre pathologie comme les maladies chroniques ou le cancer, un Comité de patient existe déjà dans certains hôpitaux en Flandre ou à Bruxelles. Pour la première fois toutefois, un " Comité de patients " va donner un avis transversalement sur toutes les activités d'un hôpital. Le Comité de patients du CHU de Liège est un " mix " entre des modèles canadien et français. Le CHU de Liège innove donc sous l'impulsion de Julien Compère, son administrateur délégué : " Le Comité de patients du CHU n'en est qu'à ses débuts, son mode de fonctionnement est à construire. Par exemple, les représentants de patients pourront, sur des problématiques précises, faire appel à d'autres intervenants compétents. Au fil des mois, la pratique et les interactions amélioreront l'outil. " A ces huit patients s'ajoutent quatre représentants d'associations de patients reconnues (LUSS et Croix Rouge) et de quatre représentants du CHU de Liège (un représentant du directeur médical, deux représentants du nursing et la médiatrice). Le Dr Bernard Bassleer a mené le travail pour la direction médicale : " Une meilleure prise en charge des malades chroniques est l'une des principales motivations qui ont conduit à la mise sur pied d'un comité de patients. L'objectif est d'améliorer le suivi des patients (diabète, obésité...) en termes d'encadrement et aussi de communication. L'amélioration du lien avec le médecin permettra encore une optimalisation des soins. " Le Comité se réunira en plénière trois à quatre fois par an, mais il peut décider de constituer des sous-groupes de travail. La phase test devrait durer 12 à 18 mois.