Les taux de mortalité par accident vasculaire cérébral (AVC) diminuent globalement en Europe, mais cette réduction à tendance à s'essouffler dans certains pays, notamment à l'Ouest, selon une étude publié mercredi. Le recul de la mortalité par AVC est notamment moins prononcé pour les femmes en Belgique.
L'étude parue dans l'European Heart Journal (EHJ) évalue les tendances pour trois types de maladies cérébrovasculaires en Europe entre 1980 et 2016.
Il s'agit essentiellement de l'AVC quand le sang n'arrive plus à irriguer le cerveau, parce qu'une artère est bouchée (AVC ischémique, le plus courant) soit parce qu'il y a une hémorragie (AVC hémorragique). Est aussi prise en compte, une forme beaucoup moins fréquente, l'hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), communément appelée hémorragie méningée, dans laquelle un saignement se produit entre le cerveau et la membrane qui l'entoure.
Les chercheurs, dirigés par le Dr Nick Townsend, professeur agrégé d'épidémiologie en santé publique à l'Université de Bath (Royaume-Uni), ont constaté dans la période la plus récente sur l'ensemble de la région européenne de l'OMS, des baisses significatives des taux de mortalité des trois types de maladies cérébrovasculaires dans 33 pays (65%) chez les hommes et les femmes.
Cependant, des augmentations étaient relevées dans trois pays pour les hommes (Azerbaïdjan, Géorgie et Tadjikistan) et dans deux pour les femmes (Azerbaïdjan et Ouzbékistan).
Les chercheurs ont également relevé des tendances plus récentes de réductions de mortalité moins prononcées dans sept pays pour les hommes (Autriche, Danemark, France, Allemagne, Grèce, République tchèque et Hongrie) et dans six pays pour les femmes (Autriche, Belgique, France, Allemagne, Irlande et Suisse).
Pour les deux sexes, plus d'un tiers des pays considérés affichent soit un ralentissement de la baisse des taux de mortalité, soit aucune diminution ou encore une augmentation de la mortalité.
Les taux de mortalités, tenant compte de la taille de la population et de sa répartition par âges, de l'AVC sont beaucoup plus faibles en Europe occidentale que dans le reste du continent.
Chez les hommes, les taux de mortalité en Europe occidentale vont de 49 pour 100.000 habitants en France à 131 pour 100.000 à Saint-Marin.
L'étude parue dans l'European Heart Journal (EHJ) évalue les tendances pour trois types de maladies cérébrovasculaires en Europe entre 1980 et 2016. Il s'agit essentiellement de l'AVC quand le sang n'arrive plus à irriguer le cerveau, parce qu'une artère est bouchée (AVC ischémique, le plus courant) soit parce qu'il y a une hémorragie (AVC hémorragique). Est aussi prise en compte, une forme beaucoup moins fréquente, l'hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), communément appelée hémorragie méningée, dans laquelle un saignement se produit entre le cerveau et la membrane qui l'entoure. Les chercheurs, dirigés par le Dr Nick Townsend, professeur agrégé d'épidémiologie en santé publique à l'Université de Bath (Royaume-Uni), ont constaté dans la période la plus récente sur l'ensemble de la région européenne de l'OMS, des baisses significatives des taux de mortalité des trois types de maladies cérébrovasculaires dans 33 pays (65%) chez les hommes et les femmes. Cependant, des augmentations étaient relevées dans trois pays pour les hommes (Azerbaïdjan, Géorgie et Tadjikistan) et dans deux pour les femmes (Azerbaïdjan et Ouzbékistan). Les chercheurs ont également relevé des tendances plus récentes de réductions de mortalité moins prononcées dans sept pays pour les hommes (Autriche, Danemark, France, Allemagne, Grèce, République tchèque et Hongrie) et dans six pays pour les femmes (Autriche, Belgique, France, Allemagne, Irlande et Suisse). Pour les deux sexes, plus d'un tiers des pays considérés affichent soit un ralentissement de la baisse des taux de mortalité, soit aucune diminution ou encore une augmentation de la mortalité. Les taux de mortalités, tenant compte de la taille de la population et de sa répartition par âges, de l'AVC sont beaucoup plus faibles en Europe occidentale que dans le reste du continent. Chez les hommes, les taux de mortalité en Europe occidentale vont de 49 pour 100.000 habitants en France à 131 pour 100.000 à Saint-Marin.