Le CHA avait précédemment voté à 62% en faveur du plan, mais la nouvelle localisation proposée quelques kilomètres plus au sud, à Habay au lieu de Léglise, a changé la donne.
Le projet a déjà été repoussé à plusieurs reprises en raison de la question sensible de la localisation du futur hôpital. Initialement prévu sur le territoire de la commune de Léglise, le nouveau site avait ensuite été déplacé vers la commune de Habay, à une quinzaine de kilomètres, afin de satisfaire les Cliniques du Sud Luxembourg (CSL).
Les CSL ont voté à 77 % en faveur du nouveau plan. L'IFAC, regroupant les hôpitaux de Marche-en-Famenne et de Bastogne l'ont, eux, adopté à l'unanimité. Avec le refus du CHA, le projet tombe cependant une nouvelle fois à l'eau puisqu'il faut l'accord des trois conseils pour qu'il soit définitivement adopté.
L'hôpital de Libramont refuse Vivalia 2025
Le Centre hospitalier de l'Ardenne (CHA) basé à Libramont a voté à 62 % contre le plan Vivalia 2025. Les trois conseils médicaux de l'intercommunale Vivalia se sont réunis lundi soir afin de se prononcer sur le plan Vivalia 2025, censé redessiner le paysage hospitalier de la province de Luxembourg. Ce projet prévoit la construction d'un hôpital de référence dans le centre-sud de la province tout en conservant l'hôpital de Marche-en-Famenne. Sans l'accord des trois CM, Vivalia 2025 est en principe mort-né.
Le CHA avait précédemment voté à 62% en faveur du plan, mais la nouvelle localisation proposée quelques kilomètres plus au sud, à Habay au lieu de Léglise, a changé la donne. Le projet a déjà été repoussé à plusieurs reprises en raison de la question sensible de la localisation du futur hôpital. Initialement prévu sur le territoire de la commune de Léglise, le nouveau site avait ensuite été déplacé vers la commune de Habay, à une quinzaine de kilomètres, afin de satisfaire les Cliniques du Sud Luxembourg (CSL). Les CSL ont voté à 77 % en faveur du nouveau plan. L'IFAC, regroupant les hôpitaux de Marche-en-Famenne et de Bastogne l'ont, eux, adopté à l'unanimité. Avec le refus du CHA, le projet tombe cependant une nouvelle fois à l'eau puisqu'il faut l'accord des trois conseils pour qu'il soit définitivement adopté.